Arrivé de Carlos Flint ....

Carlos Flint arriva au large des cotes de LogueTown. Apres avoir fait une escale a la Baratie, les courants marins avait décidé de l'amener au cotes de LongueTown. Carlos se reveilla et se mit assis sur sa barque. Il vit la cote de LongueTown. Il pensa alors que c'était la ville ou le grand Gold.D.Roger avait été executé. Carlos arretta d'etre nostalgique et prit les deux rames de sa barque et commença a ramer en direction de Longue Town. Il arriva enfin a un petit port et atacha sa barque a un pilier. Puis il desendit de sa barque et commença a marcher en direction de la ville. Il rentra dans la ville. La rue était remplit de monde. On ne pouvait meme pas avancer sans etre bousculer. Carlos arriva pres d'une auberge et rentra. Il se dirigea vers le comptoir où se trouvait un homme et une femme. Carlos posa ses bras sur le comptoir et regarda l'aubergiste.

"Je voudrais une chambre s'il vous plait."

L'homme approcha de Carlos et mit sa main droite sur Carlos. En effet les deux personnes était la avant Carlos et Carlos les avait completement doublé. Carlos detourna son regarda l'homme qui avait posé sa main sur lui. Il était de taille assez grande, avec une moustache et les cheveus noirs aplatit. La femme elle était assez belle. Elle portait une robe bleu et des talons. Quand a lui la tenue de l'homme était assez rustique. Il portait une veste marron et un pantalon noir. Au bout de sa main il avait une bague. Il devait etre surement marier a la maginfique femme.

Homme : "Eh toi c'était notre tour donc degage."

L'homme avait dit sa a Carlos sur un ton agressif. Carlos ne dit rien. Puis il transforma sa main droite en metal puis frappa rapidement le ventre de l'homme qui lui avait mit la main sur l'épaule. L'homme fut projeté contre le mur. La femme cria et accourut vers son mari.

"Désoler gente dame mais j'aime pas qu'on me parle sur ce ton."

La femme ne dit rien et prit son mari et l'emena dehors de l'auberge. Carlos se retourna vers l'aubergiste.

"Alors cette chmabre elle vient ou pas ?"

Aubergiste : "Oui monsieur tout de suite, c'est la chambre 127." Prenez les clés."

"Posez les sur le comptoir je viendrait les chercher ce soir."

L'aubergiste posa les clés sur le comptoir et Carlos sortit de l'auebrge. Puis il s'asseya sur l'escalier de l'auberge de la porte d'entré. Il regarda les gens passaient dans la grande rue. Il retira son chapeau et le posa pres de lui.

Alors que Carlos était assis sur le rebord de l'escalier de l'auberge et regardait les gens passaient, il remaqua une epicerie devant lui a quelque metres a peine. Carlos se decida alors d'aller faire un tour. Il se leva doucement et s'étira les bras, puis il ramassa son chapeau et le mit sur sa tete. Carlos se mit a marcher en direction de l'épicerie. Il ouvrit la porte et rentra a l'interieur de celle ci. Il regarda a l'interieur de celle-ci. L'épicerie était vide, il n'y avait que le vendeur derriere son comptoir. Il avança dans les rayons et prit un panier au l'avant du rayon et le bloqua dans sa main gauche. Puis il mit deux paquets de chips, une paquet de cannette de soda et un petit paquet de chwem gum. Puis il arriva enfin au comptoir et posa son panier sur le comptoir.

"L'addition brave homme."

Vendeur : "Oui monsieur !"

Le vendeur retira les articles de Carlos du panier et compta le prix. Puis ils mit les produits dans un sac et dit a Carlos le prix de tout ces articles.

Vendeur : "Ca vous fera 80 berrys s'il vous plait."

Carlos mit sa main droite devant la bouche puis bailla. Il prit le sac avec sa main gauche et se retourna. Il commença a avancer vers la sortit.

Vendeur : "Monsieur vous n'avez pas payez arretez vous sinon..."

Le vendeur sortit son fusil et tira une balle en direction de la jambe droite de Carlos. La balle troua le pantalon... Carlos continua a marcher et le balle tomba a terre.

"Je suis dans l'auberge d'a coté chmabre 127 !"

Le vendeur s'arretta de parler et vit Carlos sortir de l'épicerie avec les articles qu'il avait volé alors qu'il lui avait tiré dessus. Il regarda par terre et vit la balle tirait ecrabouiller. Le vendeur n'en croyait pas ses yeux. Le vendeur secoua sa tete et se drigea a l'arriere du magasin. Carlos était sortit de l'épicerie puis se dirigea vers l'auberge. il ouvrit laa porte et rentra. Il prit les clés de sa chambre qui été toujours sur le comptoir et monta en haut de l'auberge. Il arriva enfin a la chambre 127. Il introduisa les clés dans la serrure et ouvrit la porte. Il retira les clés de la serrure, rentra dans sa chambre et ferma la porte derriere lui. Il jeta les clés sur le canapé qui était devant lui. Sa chambre était assez petite. Il y avait un salon avec un canapé et une table et sa chambre ou il y avait son lit et un armoire.

*Cette aubergiste m'as pas donné une chambre de luxe.*

Carlos avança vers le canapé et posa son sac avec ses courses dessus. Puis il s'approche de la table et posa son chapeau ainsi que son revolver dessus. Puis il se dirigea vers la fentre. Il ouvrit la fenetre et entra sur le balcon. Il posa ses bras sur le rebord des barreaux mettalique et regarda dehors. Les passants lui semblait si petite de là où il était.

Alors que Carlos observait la rue principale de son balcon, il vit passer un groupes de marins passaient avec au milieu de ce groupe un homme en costard. Il se demanda qui était cet homme pour avoir une escorte ainsi. Il suiva où le groupe se diriga puis il vit le groupe rentraient dans la maison du maire. Donc cet homme devait surement etre le maire accompagné de sa garde.

*Pff aucun interet..*

Carlos rentra a l'intrieur de sa chambre et prit son pistolet qui se trouvait sur la table puis le rangea dans sa ceinture, puis il prit son chapeau et le mit sur sa tete. Le soleil commençait a se coucher. Carlos se dirigea vers la porte de sa chambre, l'ouvrit, sortit puis la ferma derriere lui. Il desendit les escaliers de l'auberge et alla voir l'aubergiste a son comptoir. Carlos posa ses bras sur le comptoir.

"Dites moi savait vous qui est le maire d'ici ?"

L'aubergiste fit un signe de tete positive et ne disa rien.

"Ben dit moi ce que tu sais sur lui !"

Aubergiste : "C'est l'homme le plus riche de Longue Town et a une garde personnele avec lui. On dit meme qu'il a chez lui tout les plan de cette ville."

*Oué et ça m'avance a quoi de savoir qu'il a des plans de...*

"Quoi tout les plans de la ville ! ?"

Aubergiste : "Euh oui mais ce ne sont que des rumeurs.."

"Merci mon brave."

Carlos sortit de l'auberge en courant. Il arriva dans la rue principale puis se retourna en direction de la maison du maire.

*Voila ce qu'il me fallait. S'il possede réellement les plans de cette ville il doit avoir aussi ceux de la banque d'ici. Il me sera plus facile de la cambrioler. Bon reflechissont.*

Carlos se dirigea vers la maison du maire mais alors qu'il allait arrivé pres de la maison il vit deux matelots devant le grillage de la maison. En effet ce n'était pas une simple maison. Il y avait une maison, un enomre jardin et tout sa remplit de marin. Ca s'annonçait plus difficile que prevu pour Carlos. Il devait trouver un moyen de s'affiltrer la dedans sans se faire reperer. L'entrée principale était deja mort pour lui. Il fesa le tour de la villa esperant trouvé un moyen d'y rentrer. Alors qu'il fesait le tour de la pallisade du jardin, il trouva un endroit parfait pour y grimper. Il y avait un petit arbre avec lequel il pourrait s'y appuyer puis monté sur la pallisade du jardin.

*Bon apres c'est là que commence l'action.*

Carlos monta sur l'arbre puis s'aida de celui ci pour sauter au dessu de la pallissade. Carlos arriva dans le jardin de la maison du maire. Il était agenouillé et regardé de droite a gauche voir si personne ne l'avais vu. Personne était la bizard mais Carlos fut ravi. Il se leva et approcha pres de la maison en restant derriere les buissons qui longeait la maison. Il arriva enfin a la porte d'entrée. Il jeta un oeil pour voir la porte d'entrée, deux gardes était posté. Il fallait qui les élimines discretement. Les deux gardes tenaient dans leur mains deux sortes de pistolet. Carlos regarda ce n'était pas des marins il en était sur. Mais si les marins n'était pas la garde du maire que fesait-il ici...

*Mais c'est quoi ce bordel.*

Carlos avait trouver un plan d'attaque. Il créa une boule de metal a l'interieur de sa main bien dure. Puis il la lança de l'autre coté sans que les gardes sans rencontre. Puis la boule tomba au sol et fit un bruit bien lourd contre l'herbe. Les deux gardes allerent voir ce bruit, ils avaient maintenant le dos tourné a Carlos puis Carlos se leva tout en retirant son canif de sa bote droite et trancha la tete du premier garde puis avec sa main droite, il prit la coup du garde et le craqua. Les deux gardes teomberent a terre mort. Carlos remit son canif dans sa bote droite puis se frotta les mains.

*Pas si terrible que ça ces gardes.*

Carlos observa le pistolet des gardes et remarqua que ce n'était pas un pistolet mais un fusil a canon scié. Il se baissa et ramassa le fusil a canon scié dans sa main gauche. Il se dirigea alors vers l'entré de la maison, il avait decidé de ce la jouer grand bourrin maintenant. Il ouvrit la porte d'un coup de pied. La porte tomba a terre et Carlos entra. Mais personne pour admirer son entrée. Carlos se gratta la tete avec sa main droite sous son chapeau.

*Et merde ils sont où ces bouffons. Et moi qui avez preparer mon entrée...*

Carlos entendit du bruit dans une salle qui se trouvait a droite, apparement personne n'avait entendu son entrée fanfarante. Cette fois il decida de la faire mollo. Il avança vers le porte et ouvrit en tirant la pognée avec sa main droite alors qu'il tenait le fusil avec sa main droite. IL ouvrit et rentra. Il vit le maire assit autour d'une table et les marins autour de lui.

Carlos : "C'est quoi ce bordel ?!"

Sergent : "C'est qui lui ?! Tuez le !"

Les marins sortirent leurs pistolet et tirerent en rafale sur Carlos. Carlos recouvra son corp de metal et les balles tomberent toutes a terre. Carlos mit son fusil sur son épaule gauche.

Carlos :"Adios amigos !"

Carlos visa le maire et lui tira une balle en pleine tete. Puis il abbatit les marins avec son fusil a canon scié malgres que les marins lui tirait dessus. Tout le monde fut élminer dans cette pieces. Du sang coulait par terre. Carlos se dirigea vers la table et prit un papier. Il vit une somme astronomique sur ce papier. C'était un contrat pour que la marine protege Longue Town et la banque plus precisement. Mais cela ne changeait rien au plan de Carlos. Il se dirigea vers le coffre du maire qui été fait en metal. Il mit sa main dessus et le coffre commença a fondre. Puis Carlos enleva le fondu et prit les plans qui se trouvait dedans. Et une petite bourse d'argent. Il mit la bourse dans poche et jeta le fusil par terre. Puis il sortit de la maison. Il se dirigea vers la porte principale du jardin. Les deux gardes de l'entrée était toujours la a surveiller cette maison. Carlos ouvrit la porte et les gardes fut étonné.

Carlos : "Les gars le maire vous appele."

Les gardes coururent vers la maison et Carlos sortit de la propriété du Maire. Il se dirigea vers l'auberge. Il entra dans celle ci puis alla dans sa chambre sans rien dire et tenant sous son bras des plans. Il ouvrit la porte de sa chambre, rentra et ferma derriere lui. Puis il posa les plans sur la table et se posa sans son canapé. Carlos ferma les yeux...

hj : Pour la bourse que j'ai volé chez le maire je gagne combien d'argent ?

Hj: pas grand chose je t'accorde 100 000 berrys pour avoir demander ^^

Carlos était dans sa chambre d'auberge, assit sur son canapés, les yeux fermés et les deux bras sur le rebord du canapé. Carlos ouvrit les yeux. Il était fatigué mais devait se depecher car le temps pressait. En effet avec tout son crabuge ici, la marine serait bientot a ses trousses. Carlos se leva du canapé et s'approcha de la table. Il deplia les plans qu'il avait volé chez le maire. Il prit son chapeau avec sa main gauche puis le posa contre le rebord du canapé. Carlos se pencha sur les plans. Il y avait plusieurs plan mais le seul qui l'interressait était celui de la banque. Carlos chercha celui ci et finit par le trouver. Il jeta tout les autres plans par terre et mit le plan de la banque en plein milieu de la table. Carlos regarda attentivement ce plan. Il y avait inscrit dessus beaucoup de choses qui ne lui servait a rien. Comme la date de la création de la banque ou encore les ouvriers ou le proprietere ce celle ci. Tout ceci Carlos s'en foutait mais il y avait aussi des schémas de la banque et de ses coffres. Mais le plus incroyable c'était qu'il y avait le numero de compte bancaire du maire inscrit en petit en bas a droite. Cela lui parraissait bete mais bon le maire pensait que dans son coffre fort a l'interieur de chez lui personne n'aurait pu le lui voler. Carlos observa l'emplacement des coffres et du chemin qu'il devait emprunter pour y arriver. Il resta devant le plan pendant au moins une heure a le regarder et a rien dire. Il était tres attentif a tout les détails du plan. Au bout d'un heure Carlos se mit a sourire tout seul. Carlos roula la plan et le jeta sur le canapé. Il se dirigea vers la porte a présent, il avait l'air déterminé. Il ouvrit la porte, sorta et referma derriere lui en la claquant. Carlos desendu les escaliers et se dirigea vers le comptoir ou se trouvait l'aubergiste. Carlos sortit de sa poche droite sa bourse et la mit sur le comptoir. L'aubergiste regarda d'un air étonné Carlos. Carlos lui souriat et sortit quelque pieces. Il les posa puis inclina son chapeau sur sa tete.

"Tiens prend ces 500 berrys. Tu les mérites."

Aubergiste : "Mer..Merci."

L'aubergiste n'en coryait pas ses yeux et ses oreilles. Le nonchalant Carlos lui avait offert 500 berrys ce qui signifiait un gros bénéfice pour cette humble aubergiste. Carlos referma sa bourse et la rangea dans sa poche, il se retourna et se dirigea vers la sortie de l'auberge avant de franchir la porte, il leva sa main en l'ai en signe d'aurevoir puis il poussa la porte et sortit. Carlos arriva dans la rue principale de longuetown. Le soleil tapait fort et il fesait assez chaud. Il avança vers sa destination qui n'était autre que la banque. Mais sur le chemin il vit un mur avec des wanteds collé au mur. Il regarda et vit un wanted portant son nom et sa photo. Carlos regarda d'un air étonné ce wanted.

*Quoi ?! Que 19 000 000 berrys, en plus la photo ne met pas beaucoup en valeur. J'espere qu'aucune fille n'as vu cette horreur. Je vais aller faire des réclamations au photgraphe.*

Carlos dechira le wanted, le roula en boule et le jeta par terre. Puis il continua a avançer vers la banque....